La première fois que j’ai entendu parler des couches lavables, c’était lors d'un "shower" il y a environ trois ans. Le couple en question désirait amasser les sous nécessaires pour acheter un “kit” de base. Pour être franche, la première image qui m’est venue à l’esprit est celle d’une famille portant des vêtements en macramé et mangeant du tofu biologique au souper et je trouvais ça un peu extrême. “Des couches lavables, me disais-je, vraiment, il y a des limites à penser vert!”
Trois ans plus tard, me voilà maman. Durant ma grossesse, j’ai commencé à me questionner sur le genre de monde que je voulais léguer à ma fille, et par la bande, à penser écologique. J’ai donc commencé à lire un peu sur ces fameuses couches lavables sur Internet. J’ai réalisé que je rentrais dans un univers plus complexe que prévu. Il y avait les couches plates, à poches, ou les tout-en-un, en coton, en bambou ou suédine... et les instructions de lavage qui semblaient varier pour chacun de ces tissus! Ayoye! De plus, plusieurs nous disaient que jamais on n’endurerait ce calvaire! Et j’avais tendance à les croire un peu, moi qui suis parfois influençable.
Finalement, pour comprendre le tout, j’ai décidé d’assister à un atelier donné par la boutique spécialisée Câlins et Popotins à Laval. Cela fut fort constructif et j’encourage les mamans à y assister! L’atelier est gratuit et les rabais, si vous faites vos achats en boutique par la suite, sont substanciels!
Si vous désirez connaître les différents modèles de couches lavables, je vous conseille de visiter l’excellent dossier sur le site web mamanpourlavie.com.
Trois ans plus tard, me voilà maman. Durant ma grossesse, j’ai commencé à me questionner sur le genre de monde que je voulais léguer à ma fille, et par la bande, à penser écologique. J’ai donc commencé à lire un peu sur ces fameuses couches lavables sur Internet. J’ai réalisé que je rentrais dans un univers plus complexe que prévu. Il y avait les couches plates, à poches, ou les tout-en-un, en coton, en bambou ou suédine... et les instructions de lavage qui semblaient varier pour chacun de ces tissus! Ayoye! De plus, plusieurs nous disaient que jamais on n’endurerait ce calvaire! Et j’avais tendance à les croire un peu, moi qui suis parfois influençable.
Finalement, pour comprendre le tout, j’ai décidé d’assister à un atelier donné par la boutique spécialisée Câlins et Popotins à Laval. Cela fut fort constructif et j’encourage les mamans à y assister! L’atelier est gratuit et les rabais, si vous faites vos achats en boutique par la suite, sont substanciels!
Si vous désirez connaître les différents modèles de couches lavables, je vous conseille de visiter l’excellent dossier sur le site web mamanpourlavie.com.
Bon, maintenant que la théorie est finie, en pratique, comment ça se passe?
Mon conjoint et moi avons décidé de commencer l’utilisation des couches quand Azalie a eu trois mois. Nous avons d’abord utilisé des couches plates qu’on nous avait prêtées mais ce ne fut pas concluant. Les fesses de bébé baignaient dans une humidité constante et elle était très irritée.
J’ai donc fait quelques recherches puis j’ai découvert la Mini-Kiwi (modèle de la photo) et je suis hyper satisfaite du rendement de ces couches. (Voir plus bas les avantages et les désavantages)
Pour que l’expérience soit plaisante, je vous conseille de vous équiper adéquatement dès le départ avec ces articles de base:
Un bac à couches hermétique
Un ou deux grands sacs de lavage réutilisables
Un petit sac à zip imperméable
Un savon sans enzyme et phosphate
Du Oxy Bébé sans chlore, parfum ni teinture en spray (disponible dans les grandes surfaces telles que Maxi, Loblaws et Provigo)
Une crème de change compatible comme celle de Douce Mousse
et voilà... ça devrait être suffisant!
J’ai donc fait quelques recherches puis j’ai découvert la Mini-Kiwi (modèle de la photo) et je suis hyper satisfaite du rendement de ces couches. (Voir plus bas les avantages et les désavantages)
Pour que l’expérience soit plaisante, je vous conseille de vous équiper adéquatement dès le départ avec ces articles de base:
Un bac à couches hermétique
Un ou deux grands sacs de lavage réutilisables
Un petit sac à zip imperméable
Un savon sans enzyme et phosphate
Du Oxy Bébé sans chlore, parfum ni teinture en spray (disponible dans les grandes surfaces telles que Maxi, Loblaws et Provigo)
Une crème de change compatible comme celle de Douce Mousse
et voilà... ça devrait être suffisant!
Les avantages de la Mini-Kiwi:
- Elle est confectionnée au Québec et il s’agit d’une entreprise responsable;
- Cette couche à poche se lave très bien;
- Il suffit de la retirer du bébé, d’enlever l’insert puis de la mettre dans le sac lavable dans le bac à couches. Une fois séchée, il suffit d’insérer l’insert dans la couche et voilà, on recommence!;
- Elle est à taille évolutive, donc elle revient moins cher à l’achat;
- Elle est facile à attacher;
- L'ourlet particulier empêche réellement les fuites comparativement aux couches jetables.
Les désavantages de la Mini-Kiwi:*
- S'équiper coûte cher mais l'économie est bien réelle par la suite;
- Fait un gros derrière, il faut donc prévoir des vêtements plus grands;
- Il faut les laver au moins à tous les trois jours;
- Le détergent est plus dispendieux à l’achat
- Il faut être prudent sur les crèmes de change et s'assurer qu'elles sont compatibles.
Verdict: 9/10
Et vous, quelle a été votre expérience avec les couches lavables?
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